Leterme « huĂźtre » est un nom commun ou nom vernaculaire ambigu qui s’applique en français Ă  plusieurs taxons distincts. Il recouvre un certain nombre de groupes de mollusques marins bivalves qui se dĂ©veloppent en mer. Les huĂźtres ne vivent que dans de l’eau salĂ©e (contenant 30 Ă  32 grammes de sel par litre (g/l), voire moins) et se trouvent dans toutes les mers. 4,00 € HuĂźtres marchandes 1 Commentaire 123 vues totales, 5 aujourd'hui Traitement de votre demande, veuillez patienter .... HuĂźtres marchandes triplo Informations sur l’annonce Breuillet RĂ©gion conchylicoleBassin de Marennes-OlĂ©ronTĂ©lĂ©phone0626411246HuĂźtres marchandes triplo origine Bretagne sud Dispo de suite N° annonce 20862fb78a88efda Commentaires Partager Pourcapter naturellement ces naissains, les ostrĂ©iculteurs dĂ©posent des collecteurs sous forme de tubes en plastique ou coupelles. AprĂšs 6 mois, de minuscules coquilles d’huĂźtres sont visibles sur les collecteurs. Elles vont La signature ocĂ©aniqueInscrivez vous Ă  la NewsletterLES PARCS DE LILIA Un Ă©quilibre unique Les huĂźtres Legris sont cultivĂ©es dans des parcs situĂ©s au milieu de l’archipel des Ăźles de Lilia, Ă  la sortie de l’Aber Wrac’h. Ce site exceptionnel bĂ©nĂ©ficie d’un Ă©quilibre unique entre la richesse en minĂ©raux des eaux apportĂ©es par la riviĂšre et la puretĂ© de l’eau du large qui vient brasser les parcs. Depuis la VendĂ©e ou la Charente, les huĂźtres arrivent sous forme de naissains trĂšs jeunes huĂźtres qui ne font encore que quelques millimĂštres. Elles sont mises dans des poches, puis placĂ©es sur des tables Ă  huĂźtres en mer. DĂ©butent alors les trois annĂ©es de culture qui leur permettront d’atteindre la taille consommable. LES HUITRES LEGRIS Un mĂ©lange de savoir-faire et de meroir Au bout de 3 Ă  5 ans, nos huĂźtres atteignent leur taille consommable avec un poids entre 70gr et 120gr. Elles sont alors calibrĂ©es, passĂ©es en bassins et emballĂ©es en bourriches tout prĂšs du phare de l’üle Vierge, pour ĂȘtre enfin distribuĂ©es sur la France. Les huĂźtres Legris sont alors le reflet du terroir de Lilia et du savoir-faire dont elles sont le fruit. Etant cultivĂ©es Ă  100% Ă  l’Aber Wrac’h depuis le naissain, nos huĂźtres se caractĂ©risent par leur goĂ»t iodĂ© avec des notes de chĂątaigne. La puretĂ© de l’eau et du milieu donne Ă  la chair un manteau au bord d’un noir profond alors que la nacre de la coquille est d’une blancheur Ă©clatante. Les 3 annĂ©es de travail auront quant Ă  elles permis de donner Ă  l’huĂźtre un taux de chair gĂ©nĂ©reux et Ă  la coquille sa forme bien rĂ©guliĂšre et profonde, ainsi que sa soliditĂ© et son Ă©tanchĂ©itĂ© permettant une conservation optimale en bourriches. OSTRÉICULTEUR Un mĂ©tier au plus prĂšs de la nature DĂšs le printemps, le phytoplancton se dĂ©veloppe grĂące Ă  la lumiĂšre et aux minĂ©raux apportĂ©s par la riviĂšre de l’Aber Wrac’h. L’huĂźtre dĂ©marre alors sa croissance en s’alimentant des micro-algues qu’elle rĂ©colte en filtrant l’eau de mer. A chaque grande marĂ©e basse, les parcs Ă  huĂźtres se dĂ©couvrent et commence alors le travail des ostrĂ©iculteurs qui secouent et retournent les poches. Les huĂźtres ainsi brassĂ©es gardent une forme Ă©quilibrĂ©e, la coquille se consolide et l’animal s’endurcit pour faire face aux conditions difficiles qu’il va la fin de l’automne, le temps se dĂ©grade rapidement et le site aux eaux turquoise se transforme en zone exposĂ©e aux forces du vent et de la houle. Les huĂźtres arrĂȘtent leur croissance et sont alors triĂ©es par tailles durant l’hiver avant de pouvoir reprendre leur croissance au printemps suivant. Cependant, les tempĂȘtes assaillant la cĂŽte bretonne viennent s’abattre sur Lilia et finissent bien souvent par retourner Ă  l’envers certains parcs Ă  huĂźtres, demandant un ultime effort pour permettre aux huĂźtres de survivre Ă  l’hiver. A la fin de l’hiver, les huĂźtres redĂ©marrent leur cycle de croissance et la culture se poursuit encore pendant deux DES ÎLES DE LILIA Un site exceptionnel Depuis 1845, les phares de l’üle Wrac’h et de l’üle Vierge guident les navigateurs au milieu des milliers d’ülots et rochers qui constituent l’entrĂ©e de l’Aber Wrac’h. En 1902, un nouveau phare est bĂąti sur l’üle Vierge pour prĂ©venir des dangers incessants créés par la houle, le vent et la marĂ©e. Le phare de l’üle Vierge devient alors l’édifice emblĂ©matique de la cĂŽte nord finistĂ©rienne avec une hauteur de 82 mĂštres et une portĂ©e de 52 km Ă  la ronde. Il devient le plus haut phare du monde en pierre de taille. C’est au cƓur de l’archipel des Ăźles de Lilia que sont cultivĂ©es les huĂźtres Legris. L’üle Wrac’h abrite la baie de Saint Cava oĂč sont installĂ©s les parcs qui bĂ©nĂ©ficient d’un Ă©quilibre exceptionnel entre la richesse des eaux de la riviĂšre et la puretĂ©de l’eau du large. A partir du naissain, 100% de l’élevage est rĂ©alisĂ© dans l’Aber Wrac’h. AprĂšs 3 Ă  5 annĂ©es de culture, nos huĂźtres sont emballĂ©es en bourriches tout prĂšs du phare de l’üle Vierge, pour ĂȘtre enfin distribuĂ©es sur la France. Les huĂźtres Legris se caractĂ©risent par une chair Ă©quilibrĂ©e, iodĂ©e et avec des notes de chĂątaigne. La coquille profonde, trĂšs solide et sa nacre d’une blancheur Ă©clatante sont le reflet du milieu exceptionnel dans lequel elles sont Ă©levĂ©es.
Gouelleou gouel = goéland = estomac jamais rassasié Dans la liste obtenue avec le lien, il y a un terme utilisé en ostréiculture: Riboul / ribouler. Il s' agissait le nettoyer les parcs des vases et limons fins qui s' y étaient déposés avant d' y placer des tuiles pour le captage des huitres plates ou d' y semer du naissain.
Une sĂ©rie de projets aquacoles a Ă©tĂ© lancĂ©e Ă  Dakhla mardi par le ministre de l’agriculture, de la pĂȘche maritime, du dĂ©veloppement rural et des eaux et forĂȘts, Mohamed Sadiki, dont 56 fermes spĂ©cialisĂ©es dans les algues et les coquillages au profit des jeunes pour un coĂ»t total de 27,26 millions de dirhams. Dans les dĂ©tails, au niveau de la zone portuaire, le ministre a assistĂ© Ă  l’installation des unitĂ©s de culture de projets d’algoculture de jeunes entrepreneurs spĂ©cialisĂ©s dans les algues. Au nombre de 25 projets sur une superficie totale de 50 ha, la production cible est de tonnes d’algues humides. Ces projets ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un appui financier de prĂšs de 12,49 millions DH. Ils vont permettre la crĂ©ation de 125 emplois. Le ministre a Ă©galement donnĂ© le coup d’envoi au lancement du montage de 31 projets de jeunes entrepreneurs spĂ©cialisĂ©s dans les coquillages. Ces fermes font partie d’un programme d’installation de 75 fermes sur une superficie de 150 ha, bĂ©nĂ©ficiant d’un appui financier d’environ 15,26 millions DH. Ces projets vont permettre d’atteindre une production cible de tonnes d’huĂźtres et de moules et la crĂ©ation de 382 emplois. Ces projets aquacoles inaugurĂ©s au profit des jeunes viennent pour structurer le secteur de l’aquaculture d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale au niveau de Dakhla, et s’inscrivent dans le cadre de la stratĂ©gie Halieutis lancĂ©e depuis plusieurs annĂ©es, et qui a donnĂ© un vĂ©ritable coup de pouce Ă  ce secteur afin de protĂ©ger nos richesses maritimes et Ă©galement rationnaliser l’effort de pĂȘche», a expliquĂ© M. Sadiki. Au niveau de la zone conchylicole de Boutalha, le ministre a visitĂ© un projet intĂ©grĂ© composĂ© d’une Ă©closerie et nurserie de palourde europĂ©enne. Il comprend une ferme conchylicole sur deux espaces en mer, dans la baie de Dakhla site de Boutalha, respectivement de 199,5 ha et 20 ha ainsi qu’une Ă©closerie de coquillages installĂ©e sur un terrain de 2 ha. D’un coĂ»t d’investissement de 80 millions de dirhams, ce projet a permis la crĂ©ation de 40 emplois directs et vise une production de 80 millions de naissains de palourdes par an et tonnes de palourdes par an. Le parc de palourdes s’étend sur une superficie de 220 ha, pour une production prĂ©visionnelle de t/an. Non loin du site, 4 parcs d’huĂźtres, d’une superficie totale de 18 ha, d’une production prĂ©visionnelle de 123 tonnes. L’unitĂ© de purification et de conditionnement des coquillages et poissons sise Ă  Boutelha dispose d’une capacitĂ© de 320 t/an entre 3 espĂšces moule, dorade, loup bar. D’un montant d’investissement de prĂšs de 2 millions de dirhams, cette unitĂ© emploie 44 personnes. t de poissons dĂ©barquĂ©es en 2021 La circonscription maritime de Dakhla compte six sites de pĂȘche Ă©quipĂ©s par des halles au poisson, 2 ports de pĂȘche fonctionnels et un troisiĂšme en cours de construction, 100 unitĂ©s de congĂ©lation, de traitement et de valorisation des produits de la pĂȘche, 8 fabriques de glace ainsi que 25 fermes aquacoles. Le secteur de la pĂȘche au niveau de Dakhla compte barques, 75 senneurs et 108 palangriers ainsi que 30 navires chalutiers pĂ©lagiques. En 2021, les dĂ©barquements ont atteint prĂšs de t gĂ©nĂ©rant une valeur de plus de 2,8 milliards DH. Ces dĂ©barquements sont composĂ©s essentiellement 92% des petits pĂ©lagiques. S’agissant des exportations, prĂšs de t des produits de la pĂȘche ont Ă©tĂ© exportĂ©es en 2021 depuis Dakhla, dont 90% sous Ă©tat congelĂ©. Visite de la halle au poisson Une visite a Ă©tĂ© effectuĂ©e par M. Sadiki Ă  la nouvelle halle au poisson de Dakhla inaugurĂ©e par Sa MajestĂ© le Roi en fĂ©vrier 2016. Elle s’inscrit dans le cadre de la mise en Ɠuvre de la stratĂ©gie Halieutis en matiĂšre d’organisation de la filiĂšre pĂȘche cĂŽtiĂšre et artisanale. D’un coĂ»t global de 26 millions DH, la halle est installĂ©e sur une superficie couverte de mÂČ. Elle a pour objectifs d’assurer la qualitĂ© des produits de la pĂȘche transitant par la halle, d’organiser les flux des produits et des personnes Ă  l’intĂ©rieur de la halle, d’augmenter l’attractivitĂ© de la halle et de permettre la commercialisation de l’ensemble des produits de la mer. Ce projet permettra une meilleure valorisation des produits de la pĂȘche, une amĂ©lioration des revenus des marins pĂȘcheurs et des armateurs, un accroissement des recettes de la collectivitĂ© locale ainsi que la contribution au dĂ©veloppement socio-Ă©conomique de la ville. Visite de la zone dĂ©diĂ©e aux navires RSW Une tournĂ©e a Ă©tĂ© effectuĂ©e au niveau de la zone dĂ©diĂ©e aux navires RSW Refrigerated Sea Water pour prendre connaissance des installations du systĂšme de pesage des produits des navires, mis en place dans le cadre du plan de gestion de la pĂȘcherie des petits pĂ©lagiques de l’Atlantique sud. Le systĂšme de pesage des produits des navires RSW a pour objectifs de dĂ©finir et mettre en place un systĂšme qui permet une estimation correcte du poids des captures par les autoritĂ©s de contrĂŽle. Il a Ă©galement pour objectifs de rĂ©organiser la zone dĂ©diĂ©e au dĂ©chargement des produits, d’assurer la fluiditĂ© des opĂ©rations de dĂ©chargement et la maĂźtrise de la traçabilitĂ© des captures. Visite d’une unitĂ© de production de conserve de poisson Au niveau de la zone industrielle de Dakhla, le ministre a visitĂ© une unitĂ© de production de conserves de sardines et de maquereaux. Créée en 2012, cette unitĂ© dispose d’une capacitĂ© de production de 45 t et d’une capacitĂ© de stockage de 800 t. La production est destinĂ©e aussi bien au marchĂ© local qu’à l’export, Ă  destination de l’Europe, Afrique, Asie, Etats-Unis et Russie. La mise en place de cette unitĂ© a permis la crĂ©ation de 140 emplois permanents et 482 emplois saisonniers. Visite d’une unitĂ© de stockage et de logistique Le ministre a visitĂ© une unitĂ© de stockage et de logistique. Il s’agit d’un entrepĂŽt frigorifique Ă  Dakhla dotĂ© de 5 chambres de stockage Ă  -25°C, Ă©quipĂ©es toutes d’un systĂšme de rayonnage par accumulation. Offrant une capacitĂ© globale de stockage de tonnes ou palettes, il s’agit de la plus grande plateforme de stockage nĂ©gatif d’Afrique. D’un investissement de 80 millions DH, la plateforme de stockage Ă  froid contrĂŽlĂ© est rĂ©alisĂ©e sur une superficie de 1,5 ha dont mÂČ couverts selon les standards internationaux en termes de normes d’hygiĂšne, de qualitĂ© et de sĂ©curitĂ©. La plateforme offre Ă©galement un service de location de stockage adaptĂ© aux divers demandeurs sur place ainsi que la flotte de la pĂȘche hauturiĂšre. Cette unitĂ© a permis la crĂ©ation de 30 emplois permanents. Visite du Centre rĂ©gional de l’INRH Le Centre rĂ©gional de l’Institut national de recherche halieutique INRH Ă  Dakhla a dĂ©marrĂ© ses activitĂ©s en octobre 1998 dans l’objectif d’assurer une recherche de proximitĂ©. Sa zone de compĂ©tence s’étend sur 600 km de cĂŽte, couvrant la zone allant de la limite sud de Boujdour Lakraa jusqu’à la frontiĂšre maroco-mauritanienne. Les domaines d’expertise du centre concernent le domaine de l’aquaculture, le domaine de la pĂȘche ainsi que le domaine sanitaire et environnemental. Le ministre a visitĂ© les infrastructures du centre, composĂ©es du laboratoire de pĂȘche, du laboratoire de suivi et surveillance du milieu marin et du laboratoire spĂ©cialisĂ© en aquaculture. Naissaind'huĂźtres 11. International trade 1. MatĂ©riel 250. MatĂ©riel divers 42. MatĂ©riel mytilicole 19. MatĂ©riel ostrĂ©icole 147. Navires 26. VĂ©hicules professionnels 16. Moules 6. Moules marchandes 0. Naissain de moules 6. Parcs et exploitations 95. Exploitations et parcs mytilicoles 0. Exploitations et parcs ostrĂ©icoles 95. Services aux entreprises 31. Forums; ActualitĂ©s; PubliĂ© le 03/05/2010 Ă  1752 , mis Ă  jour le 05/05/2010 Ă  1326 Le ministre de l'Agriculture Bruno le Maire a annoncĂ© mercredi la tenue d'Assises de la conchyliculture au cours du mois de juin, aprĂšs avoir reçu des ostrĂ©iculteurs bretons venus manifester Ă  Paris pour alerter sur le problĂšme de surmortalitĂ© qui touche les naissains d'huĂźtres. Quelque 300 producteurs d'huĂźtres, principalement bretons, ont Ă©tĂ© reçus par le ministre aprĂšs avoir bloquĂ© notamment le Pont de l'Alma dans la matinĂ©e en dĂ©versant plusieurs dizaines de kilos de coquilles d'huĂźtres. Ces Assises de la conchyliculture "permettront de fixer les axes d'avenir pour cette filiĂšre durement Ă©prouvĂ©e par cette crise sans prĂ©cĂ©dent", a Ă©crit le ministre dans un 2009, la surmortalitĂ© des naissains, liĂ©e notamment Ă  un virus et une bactĂ©rie, a atteint 80 Ă  100% sur certains lots d'huĂźtres creuses, selon l'Ifremer Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer. Le phĂ©nomĂšne menacerait un quart des entreprises conchylicoles, selon le ComitĂ© national de la conchyliculture CNC.Comme il faut trois ans pour Ă©lever une huĂźtre, la surmortalitĂ© des naissains apparues en 2008 va commencer Ă  se faire sentir sur les Ă©tals en fin d'annĂ©e.

devenirdes naissains. Vers le 14 juillet, les ostréiculteurs posent les collecteurs dans des zones appropriées (zones de courants) afin de récupérer le naissain. Les hußtres peuvent rester sur les collecteurs 8, 18 ou 30 mois. n Le grossissement Les jeunes hußtres collectées dans le milieu naturel ou élevées en bassin, sont placées

Durant l'été, on s'active dans le bassin d'Arcachon. La pose des tuiles chaulées demande beaucoup d'efforts. Une étape indispensable pour la collecte des naissains d'hußtres. Durant l'été, un phénomÚne invisible à l'oeil nu se produit dans les eaux du bassin d'Arcachon. Ce moment est essentiel pour les ostréiculteurs, qui jouent une bonne partie de leur saison. C'est en effet à cette période que les hußtres pondent leurs oeufs. Une fois fécondés, ces oeufs deviennent des larves d'hußtres les naissains. Les professionnels procÚdent alors au captage, ils déposent des collecteurs dans l'eau, sur lesquels viennent se fixer les naissains, pour une durée qui varie de 8 à 30 mois. Encore faut-il au préalable installer ces collecteurs, faits de tuiles chaulées. Les opération ont débuté aux alentours du 15 juillet et se poursuivent actuellement. Avec deux millions de tuiles à poser, il ne faut pas chÎmer. France 3 Aquitaine s'est rendu sur le bassin afin d'assister aux opérations. huitres

Lesnaissains d’huĂźtres Ce sont les « juvĂ©niles » qui seront, on l’espĂšre, amenĂ©s Ă  vous rĂ©galer mais pas avant 3 ou 4 annĂ©es. Autant dire qu’on a
4,00 € HuĂźtres marchandes 1 Commentaire 121 vues totales, 3 aujourd'hui Traitement de votre demande, veuillez patienter .... HuĂźtres marchandes triplo Informations sur l’annonce Breuillet RĂ©gion conchylicoleBassin de Marennes-OlĂ©ronTĂ©lĂ©phone0626411246HuĂźtres marchandes triplo origine Bretagne sud Dispo de suite N° annonce 20862fb78a88efda Commentaires Partager
Uneproduction au rythme de la mer. Ce qui permet d’obtenir ces coquillages aux goĂ»ts si diffĂ©rents, c’est la maĂźtrise par la Famille Arin de toutes les Ă©tapes de la production, du captage (la collecte des bĂ©bĂ©s huitres) Ă  la vente. Lorsque les naissains (les fameux bĂ©bĂ©s) sont suffisamment grands, aprĂšs quelques mois passĂ©s dans les eaux de la Charente-Maritime, ils

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Ellesvont alors rencontrer les collecteurs posĂ©s au prĂ©alable par l’équipe Raymond et Fils et s’y coller. Quelques mois plus tard, nous allons rĂ©cupĂ©rer ces collecteurs et dĂ©coller minutieusement (Ă  l’aide d’une machine) les toutes petites huitres que l’on appelle le naissain. Le naissain est ensuite placĂ© dans des poches et

Un congrĂšs mondial rĂ©unit actuellement les ostrĂ©iculteurs Ă  Arcachon, autour d'une question sans vraie rĂ©ponse quel est le mal dont souffrent les huĂźtres ? Depuis maintenant 4 ans, des mortalitĂ©s inhabituelles surviennent partout, d'abord les naissains et aujourd'hui chez les adultes. Virus, bactĂ©ries, parasites, rĂ©chauffement des eaux de multiples explications sont huĂźtres creuses sont les plus vendues. Sont-elles en danger ? © JLG/Futura-Sciences Cela vous intĂ©ressera aussiEn 2008, les ostrĂ©iculteurs français ont sonnĂ© l'alerte leurs naissains les larves subissaient des mortalitĂ©s inhabituelles. Depuis, rien ne s'est arrangĂ©, avec des pertes chez les naissains qui se maintiennent Ă  un taux Ă©levĂ© et auxquelles s'ajoute maintenant une surmortalitĂ© chez l'adulte, l'huĂźtre atteignant sa taille commerciale en 2 ou 3 ans. C'est un congrĂšs mondial Oyster World Congress qui leur est actuellement consacrĂ© Ă  Arcachon, des ostrĂ©iculteurs du monde entier venant discuter de leurs s'est penchĂ© sur le problĂšme en mettant en place en 2009 un Observatoire national conchylicole ciblant l'huĂźtre creuse, Crassostrea gigas, la plus vendue. Ses rĂ©sultats donnent la mesure du phĂ©nomĂšne alors que les donnĂ©es historiques montrent qu'entre 1995 et 2007, les taux de mortalitĂ© [dans le naissain] sont restĂ©s stables au niveau national, et situĂ©s aux alentours de 15 % », sur les 14 sites suivis, la mortalitĂ© a brusquement augmentĂ© en 2008 pour atteindre 63 % au niveau national. En 2011, l'Ifremer observe des taux de mortalitĂ© finaux qui atteignent 73 % sur les naissains issus de captage et 43 % sur les naissains issus d'Ă©closerie » Les surmortalitĂ©s des naissains d'huĂźtres creuses Crassostrea gigas, Les rencontres de l’Ifremer, janvier 2012.SurmortalitĂ© des huĂźtres un virus sur le banc des accusĂ©sLes analyses effectuĂ©es dĂ©signent un serial killer le virus OsHV-1 Ostreid Herpes virus 1, sans danger pour l'Homme. Sa prĂ©sence est corrĂ©lĂ©e avec les mortalitĂ©s. Une forme particuliĂšre du virus, et jusque-lĂ  inconnue, baptisĂ©e ÎŒVar, est Ă  peu prĂšs systĂ©matiquement retrouvĂ©e dans les Ă©chantillons de populations ostrĂ©iculteurs accusent aussi les tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©es. L'huĂźtre creuse, en effet, n'aime pas l'eau chaude et sa reproduction est liĂ©e Ă  la tempĂ©rature quand elle dĂ©passe 18 °C, ce mollusque bivalve comprend qu'il est temps de produire des gamĂštes. Les chercheurs ont comparĂ© les courbes de tempĂ©ratures observĂ©es Ă  celles des mortalitĂ©s et ce dans diffĂ©rentes rĂ©gions du littoral français. RĂ©sultat une corrĂ©lation dans le cas des abeilles, la cause des mortalitĂ©s d'huĂźtres creuses pourrait ĂȘtre multifactorielle. Pour l'instant, on ne fait que compter les huĂźtres qui meurent trop tĂŽt sans savoir ce qu'il faudrait faire...Les ostrĂ©iculteurs veulent nous rassurer et, en marge de ce congrĂšs mondial, promettent que les prix ne vont pas grimper prochainement donc pas pour les fĂȘtes de fin d'annĂ©e..., comme ce fut le cas en 2008. Mais les surmortalitĂ©s observĂ©es depuis peu chez les huĂźtres adultes vont Ă  coup sĂ»r aggraver les soucis des producteurs. C'est trĂšs inquiĂ©tant toutes les manipulations, comme les mises en bassin, s'accompagnent de mortalitĂ©s d'huĂźtres », explique Ă  l'AFP Jean-Charles Mauviot, directeur du comitĂ© rĂ©gional conchylicole CRC Arcachon-Aquitaine. Dans toutes les rĂ©gions de production, les tonnages produits sont Ă  la baisse. En Bretagne sud, par exemple, la production serait passĂ©e de tonnes en 2008 Ă  tonnes, d'aprĂšs HervĂ© Jenot, prĂ©sident du CRC de cette rĂ©gion qui s'exprimait devant le micro de l' congrĂšs mondial permettra donc de comparer les chiffres français avec ceux des autres pays producteurs et, peut-ĂȘtre, de mieux cerner le ou les coupables...IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
Cesmollusques commencent leur vie dans le sud-ouest de l’Hexagone, particuliĂšrement en Charente-Maritime. Les ostrĂ©iculteurs placent des tuiles ou des coupelles recouvertes de chaux sur le littoral pour que les bĂ©bĂ©s huĂźtres —
Midi Libre va suivre pendant une annĂ©e les Ă©tapes de production des huĂźtres Ă  Marseillan au mas familial de Christian Vila. Chez Coqui Thau, Ă  Marseillan, les huĂźtres sont collĂ©es et les cordes ont Ă©tĂ© mises Ă  l’eau. La seconde Ă©tape de la production est terminĂ©e. La premiĂšre consistait Ă  faire grandir les naissains qui viennent d’une Ă©closerie. Ils avaient Ă©tĂ© mis dans une nurserie pendant quelques mois pour grandir un peu pour passer de quelques millimĂštres Ă  2 ou 3 cm, NDLR. Ils ont Ă©tĂ© ensuite sortis de l’eau, nettoyĂ©s, calibrĂ©s et collĂ©s manuellement sur une corde. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Ce collage est un dur labeur, jalonnĂ© de patience, de minutie. Mais c’est aussi un tour de force pour ensuite aller sur l’étang suspendre, Ă  leur table, les "bĂ©bĂ©s" huĂźtres qui ne demandent qu’à pousser dans les eaux de Thau. Le travail n’est pas difficile en soi, il est simplement long et minutieux. Les “bĂ©bĂ©s” huĂźtres sont disposĂ©s par quatre sur une corde qui sera ensuite plongĂ©e dans l’eau. Ils ne sont pas trop de trois pour rĂ©aliser le collage. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Christian Vila, producteur d’huĂźtres depuis 1985 est en train de passer la main Ă  ses enfants Éric et Laure, mais il est toujours lĂ  pour superviser la production, donner des conseils et aussi, c’est le plus important, ne pas quitter brutalement un mĂ©tier qu’il a embrassĂ© pendant des annĂ©es avec passion. Avec des mains expertes, les petites huĂźtres sont collĂ©es par quatre sur une corde. La petite taille de l’animal rend le travail fastidieux et long. Mais tout cela pour un rĂ©sultat optimum. Une autre technique est utilisĂ©e sur le bassin de Thau, celle du torron qui consiste Ă  attacher les huĂźtres entre deux cordes. Les bĂȘtes forment alors naturellement des paquets ou des pignes. Elles sont rĂ©coltĂ©es comme avec le systĂšme du collage. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Un travail long et minutieux "L’Ɠil de l’expert", rigole-t-on de Christian autour de la table de collage oĂč l’on s’affaire pour que des milliers de petites huĂźtres puissent regagner les eaux salĂ©es et nourriciĂšres de l’étang de Thau. Devant des tĂŽles ondulĂ©es, les petites mains expertes disposent deux huĂźtres d’à peine trois cm de long sur le plan de travail. On vient ensuite poser la colle sur ces deux-lĂ  un ciment qui rĂ©siste Ă  l’eau puis on met une corde de bonne longueur et deux autres huĂźtres. L’assemblage est terminĂ© et se fait ainsi presque Ă  la chaĂźne des heures durant. Il ne reste plus qu’à attendre un brin de temps pour que la colle fasse son Ɠuvre. Pour la mise Ă  l’eau, il convient d’ĂȘtre dĂ©licat pour ne pas abĂźmer les cordes que l’on va plonger dans l’étang. Comme la “grappe“ est lourde il convient de faire ça Ă  deux personnes. C’est bien plus pratique et rapide. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER On pourra, plus tard, sur les Ă©tals, reconnaĂźtre les huĂźtres du bassin de Thau qui ont Ă©tĂ© collĂ©es grĂące Ă  la toute petite tache blanche, laissĂ©e par le ciment, que l’on trouve sur la pointe de la bĂȘte. Dans le mas, en quelques heures, plusieurs plateaux sont dĂ©jĂ  prĂȘts Ă  ĂȘtre embarquĂ©s. Il faut alors prendre la barge pour aller suspendre les cordes dans l’eau, sur les tables de production. C’est une des spĂ©cificitĂ©s du bassin de Thau oĂč les huĂźtres sont toutes suspendues dans l’eau pour qu’elles puissent s’épanouir et donner de beaux fruits aux paysans de l’étang. Une fois le collage terminĂ© et la colle durcie, les huĂźtres sont suspendues sur les tables pour baigner dans l’eau et se nourrir. Elles resteront lĂ  une bonne annĂ©e dĂšs fois plus pour pousser et se nourrir du plancton de l’étang. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Pour gagner leur parcelle, une petite traversĂ©e du bassin s’impose aux ostrĂ©iculteurs. Suspendre la production en devenir Dix bonnes minutes de pur bonheur avec le beau temps qui rĂšgne et c’est parti pour suspendre la production en devenir. Si pour l’heure, elles ne font que 2 Ă  3 cm dans une annĂ©e, au moment de la rĂ©colte, elles feront pour certaines la taille d’un travers de main. On dit que l’huĂźtre a poussĂ©. "La corde doit ĂȘtre suffisamment longue pour que toutes les huĂźtres soient dans l’eau", explique Christian qui vient rĂ©guliĂšrement participer aux travaux du mas. "En gros, il y a environ 300 huĂźtres disposĂ©es sur les cordes. On vient les disposer Ă  distances rĂ©guliĂšres pour qu’elles puissent se nourrir abondamment. Puis, aprĂšs, c’est un travail de patience. On attend que les huĂźtres grandissent. On vient les nettoyer quand il le faut. Dans une annĂ©e elles seront prĂȘtes Ă  la dĂ©gustation. C’est pour cela que nous collons rĂ©guliĂšrement afin que nous ayons toujours des produits Ă  la vente." Le collage est terminĂ©. Direction les tables au beau milieu de l’étang avec la barge ou le bac, c’est selon, dans un dĂ©cor de rĂȘve pour aller faire pousser la prochaine rĂ©colte. MIDI LIBRE - JEAN-PIERRE AMARGER Chez les Vila, on n’est pas des voyants, mais on fait ainsi tourner les tables de production d’huĂźtres afin que le mas soit en permanence approvisionnĂ© et que Christian puisse se dĂ©placer, comme il le fait depuis des annĂ©es, vers la rĂ©gion Toulousaine, oĂč il vend tous les week-ends, sa production. GWIXMA.
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